Tiens, je viens de remarquer que mon blog à eu 4 ans hier !
Et quand je repense à cette période, je me dis : bon Dieu que les choses ont changé en 4 ans !
Quoi ? Heu... ? Mon tour de taille et mes cheveux gris...
Ou oui par exemple, hier, je suis allé bouffer manger au Quick (oui, c'est une réussite belge, ben oui, battre les ricains sur leur terrain le quick-food fast-food), avec les enfants. Et donc, au Quick, où je ne vais que parce que les enfants le demandent bien sûr, en prenant les mêmes quantités qu'auparavant... je mange moins, tout en mangeant ma part. Non pas parce que le Quick a réduit les portions, mais surtout, parce que je n'ai plus à finir les "restes". Vous voyez comme tout change...
Allez, je prends le train pour encore 5,6,7... ans ?

... voici représentée une bonne activité qui s'y associe bien...

... fait passer bien des choses.
Ça se passe ici, et ça se passe... de commentaires.

Hé hé ! Oui, je suis content... pour une chose en tous cas.
Explications™:
Il y a quelques temps, un client me demande de lui faire un projet de couverture pour un bouquin un peu "différent du genre habituel de la maison". Je réfléchi au truc, et tourne en rond pendant une dizaine de jours. Le client me relance, et je m'y remets et tout coup, ça y est, je trouve. Mon projet prend forme, je suis content, je l'envoie et... "Heu, ici, on n'aime pas tellement... tu ne pourrais pas nous faire autre chose pour demain ?"...
Zut, je l'aimais bien mon projet. Ce que je dis, je le défends... je comprends bien que ça ne colle pas assez à leur image habituelle, mais il fallait pourtant faire différent ? Bon, je fais un nouveau projet, beaucoup plus classique, l'éditeur aime bien et envoie cependant, à mon grand étonnement, les 2 projets à l'auteur du livre. Un dizaine de jours s'écoulent et là, il y a quelques instants : "Allo G.Mike ? Dis, je ne te dérange pas ? C'est au sujet de la couverture... et bien tu vas rire, mais l'auteur aime bien ton premier projet, il faudrait seulement rajouter un peu de rouge... il aime bien l'autre aussi, mais le trouve trop classique..."
Hé hé hé...
Ceci dit, le travail n'avait rien d'extraordinaire hein, c'est un truc banal, mais bon, c'est un petit plaisir, et ça fait du bien à mon égo.

Le mariage, c'est quand une femme demande à un homme de retirer ses habits... pour les mettre dans la corbeille de linge sale.
(Albert Finney)
Allons, il exagère le gars non ?